50/50
Le quotidien d’Adam, 27 ans, bascule le jour où il est diagnostiqué d’un cancer. Il l’annonce alors à sa petite amie, son meilleur ami et sa mère qui, tous trois, vont réagir différemment à la nouvelle et conduire le jeune homme à s’interroger sur la manière dont il veut vivre cette épreuve.
Délicat de faire un film sur le cancer sans en faire trop, soit en tombant dans le pathos soit en utilisant un humour trop appuyé pour être sincère. 50/50 réussit ce pari avec beaucoup de justesse, grâce à une histoire pleine de tendresse, un scénario intelligemment équilibré et des acteurs aussi spontanés que touchants. Joseph Gordon-Levitt – que l’on ne présente plus – porte à nouveau le film sur ses épaules avec le talent qu’on lui connaît. A ses côtés, Seth Rogen et Anna Kendrick ne sont pas en reste, le premier toujours aussi doué pour nous faire rire, la seconde aussi attachante qu’amusante dans le rôle de la thérapeute novice du jeune homme.
Lorsqu’il découvre qu’il est atteint du cancer, Adam apprend qu’il a une chance sur deux d’y survivre. C’est à la foi beaucoup et si peu. Beaucoup de choses autour de lui vont être remises en question (girlfriend, amis, boulot, famille). Il y a en revanche plus d’une chance sur deux que vous appréciez ce drama-comedy humain et sympathique.
JONATHAN LEVINE | USA | 100 MIN | 16 NOVEMBRE 2011 | JOSEPH GORDON-LEVITT, SETH ROGEN, ANNA KENDRICK |
Ta critique tombe à pic, cela fait un moment que je suis intrigué par ce film. Assez indécis à la base tu viens de me décider à aller le voir !!!
Un film sans prétention mais pas dénué d’intelligence. Agréable.
Nooooooooooon ! alors là je suis très étonné que tu ais aimé ! Je ne remets pas en cause les bonnes intentions de Jonathan Levine, ni son ambition, mais honnêtement il manque sérieusement d’audace et n’offre qu’une comédie dramatique bourrée de clichés, très loin d’un « Intouchables » par exemple. Je suis quand même d’accord sur une chose, Joseph Gordon-Levitt porte totalement le film sur ces épaules.
Je voulais voir ce film, mais il n’est pas diffusé chez moi… Tan pis j’attendrais le DVD mais je le verrai !!! En plus y a JG. Levitt !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! <3
J’ai beaucoup aimé le film, l’ambiance, la musique, les acteurs, surtout, pas d’effet pathos forcé et j’ai marché complétement avec émotion et plaisir
j’ai trouvé le ton du film très juste moi aussi… et je m’attendais pas du tout à ça en y allant, plus à quelque chose de drôle mais un peu balourd…
jolie petite conclusion de ton article ! 🙂
Après visionnage je suis mitigé, quelques bons moments mais je ‘aurais tendance à mettre tout juste la moyenne. Un divertissement correcte.
J’aimerais énormément le voir, mais meme a Bordeaux il n’y a aucun cinéma qui le diffuse
L’histoire me plait, me touche comme les interpretes
Seth Rogen oblige, 50/50 ressemble à un soft de Funny people et étrangement c’est vachement bien aussi.
[…] [ciné] 50/50 […]
Je l’ai vu il y a quelques jours (je pense que ça devait être le mercredi ou le jeudi avant Noël, mais je dois avouer être un eu déçue… Je suis d’accord pour dire que le film est touchant tout en évitant le mélo ou le lourd, mais je n’ai pas tellement ressenti le côté comique que le réalisateur a voulu mettre en scène. Puis niveau casting, je trouvais que pris séparément, les acteurs sont plutôt bons, mais ensemble, je ne sais pas ça ne fonctionnait pas… Joseph Gordon-Levitt est vraiment somptueux et j’ai à nouveau été étonnée par le jeu d’Anna Kendrick. Seth Rogen m’a par contre un peu déçue. Mais c’est bien Bryce Dallas Howard qui m’a vraiment le plus gêner ici : peut importe le film, je n’arrive vraiment pas à supporter son jeu tant je la trouve fade voir carrément inexpressive…
Je n’en attendais pas grand chose non plus, j’ai passé un bon moment. Pour Bryce Dallas, nous sommes complètement d’accord, j’ai vraiment beaucoup de mal avec son jeu. Hormis dans Manderlay – et encore – je l’ai toujours trouvé assez fade voire niaise. Mais bon, que veux-tu, le piston fonctionne bien à Hollywood.
Je suis étonnée par ta note, je l’avoue. J’ai trouvé ce film lent, pénible, et bourré de maladresses scénaristiques. Les personnages sont en outre terriblement unilatéraux, ce qui laisse peu de choses à sauver aux acteurs, d’ailleurs peu convaincants (pas d’exception pour Joseph Gordon-Levitt).
Comme semble l’indiquer son titre, le film n’est donc jamais vraiment bon, jamais vraiment mauvais, mais au risque de passer pour une fille pessimiste, je dirais que cette fois, le verre était à moitié vide.
Ce n’est pas une comédie inoubliable, mais sans en attendre grand chose j’ai passé un moment assez agréable devant.
Je n’en garde pas un souvenir impérissable pour être honnête. Je partais avec l’idée qu’en sortant je verrais le verre complètement vide. Au final, j’ai trouvé que ça remplissait sa fonction de divertissement avec un peu de tendresse et d’humanité. Ce n’est pas mémorable mais ça se laisse regarder.
Quant à la note, je n’avais pas corrigé toutes les notes des anciens articles par rapport au nouveau barème 😉
[…] Egalement produit par la Summit, ce Warm Bodies écrit et réalisé par le jeune Jonathan Levine (50/50, Tous les garçons aiment Mandy Lane) rentre dans la case « amour entre un(e) humain(e) […]
c est malin avec tes conneries je me suis tape9 l altrcie sur Valeurs Actuelles lol !C est quand meame drf4le ces gens qui n ont de cesse de de9clarer qu on les empeache de s exprimer alors que tout ce qu on fait c est souligner l absurdite9 de leur propos