LA PLANÈTE DES SINGES : LES ORIGINES
Dans un laboratoire, des scientifiques expérimentent un traitement sur des singes pour vaincre la maladie d’Alzheimer. Mais leurs essais ont des effets secondaires inattendus : ils découvrent que la substance utilisée permet d’augmenter radicalement l’activité cérébrale de leurs sujets. César, est alors le premier jeune chimpanzé faisant preuve d’une intelligence remarquable. Mais trahi par les humains qui l’entourent et en qui il avait confiance, il va mener le soulèvement de toute son espèce contre l’Homme dans un combat spectaculaire.
Les reboots sont à la mode. Plus souvent pour des raisons commerciales qu’artistiques, les studios n’hésitent pas à relancer des franchises devenues poussiéreuses (ou pas) pour s’attirer en salles une foule de fans non-négligeables voire renouveler sa clientèle. Si la majorité sont souvent des succès au box-office, on ne peut que rarement se féliciter du résultat cinématographique.
The Rise of the Planet of the Apes avait donc de quoi susciter notre méfiance et notre cynisme. Pourtant, il s’avère être un blockbuster plaisant et bien fichu, bénéficiant d’effets spéciaux aussi réussis que discrets. Si on regrettera quelques facilités, on appréciera toutefois un divertissement efficace et plus abouti (et moins con) que la majorité des busters de l’été. James Franco est plutôt convaincant, tout comme John Lithgow, son grand-père malade pour qui il se bat scientifiquement. Une réussite et une bonne surprise pour ce reboot efficace de la saga Planète des singes.
RUPERT WYATT | USA | 110 MIN | 10 AOUT 2011 | JAMES FRANCO, JOHN LITHGOW, FREIDA PINTO |
Je pense un peu près la même chose que toi ! Ce n’est pas mauvais mais il manque quelque chose…
On est au moins d’accord sur Freida Pinto
Pas vu, pas pris. Les commentateurs avaient l’air assez élogieux mais je n’ai pas eu le temps… et je ne pense pas en avoir plus pour y aller.
j’ai bien aimé ce film. mieux que les anciens avec charton heston, moins flippant quoique… je n’ai pas compris à quoi servait la véto (c’est qui déjà). j’ai aimé la révolte des singes dans leur prison, et le « non » de césar.
si il y a une suite j’irais la voir
Bougrement efficace, et comme tu le dis bien moins con que d’autres blockbusters hollywoodiens. Le film est bourré de bonnes idées, mais ne va malheureusement jamais jusqu’au bout.
3 lignes seulement… est-ce que c’est toute votre critique (concise, mais plutôt un « avis » qu’un argumentaire), ou bien est-ce que je n’ai pas su dénicher un texte plus long existant quelque part?
(s) Ta d loi du cine, « squatter » chez Dasola
c9pisode inte9ressant, c’est dommage que Marion Sabourdy de9forme aunatt les ide9es de Dawkins, tout en avouant ne l’avoir pas beaucoup lu. Que je sache, il n’a jamais pre9tendu que les gens qui avaient une croyance religieuse n’avaient pas de le9gitimite9 dans le domaine scientifique, seulement que la foi est un phe9nome8ne irrationnel *en soi*. Bref, que le fait qu’on puisse eatre un chercheur scientifique et aussi croire en une religion est un indice de la capacite9 des eatres humains e0 compartimenter les diffe9rents aspects de leur vie. Le pire qu’on puisse dire des the8ses de Dawkins e0 ce sujet, c’est qu’il pense que les scientifiques qui sont croyant ne sont pas 100% cohe9rents avec eux-meames.
[…] un reboot très satisfaisant, signé Rupert Wyatt, c’est Matt Reeves (Cloverfield) qui s’est chargé de prendre le […]