DARK SKIES
DANS UNE BANLIEUE PAISIBLE, LA FAMILLE BARRETT VOIT SOUDAINEMENT SA VIE BASCULER SUITE À DES ÉVÈNEMENTS ÉTRANGES QUI, CHAQUE NUIT, VIENNENT TROUBLER LA TRANQUILLITÉ DE SA MAISON. LORSQUE LEUR FILS CADET ÉVOQUE UN MYSTÉRIEUX « OGRE DES SABLES » LUI RENDANT VISITE LE SOIR, LE QUOTIDIEN DE DANIEL ET LACY BARRETT TOURNE ALORS AU CAUCHEMAR : ILS DEVIENNENT VICTIMES D’INQUIÉTANTS TROUS DE MÉMOIRES, ET DE SOUDAINES PERTES DE CONTRÔLE DE LEUR CORPS. NE TROUVANT AUCUN SOUTIEN AUTOUR D’EUX, ILS SE RETROUVENT IMPUISSANTS POUR AFFRONTER CE QUI VA SE RÉVÉLER ÊTRE UNE FORCE EXTRA-TERRESTRE CHERCHANT À S’EMPARER DE LEURS ENFANTS. La tagline de Dark Skies ne laissait aucune place au doute : « Par les producteurs de Paranormal Activity et Insidious« . Le spectateur qui visionne donc Dark Skies sait à quoi s’attendre et ne sera pas surpris de ne voir qu’un film d’ambiance débordant de clichés et de situations aussi grotesques qu’attendues. Un adolescent d’une quinzaine d’années aurait pu écrire le scénario de ce produit hyper-formaté : des oiseaux kamikazes au gamin deux-de-tension et somnambule, de la silhouette dans la pénombre au déplacement d’objets inexpliqués, du marginal expert en kidnapping d’aliens à ce twist final bidon et prévisible… tout laisse une impression désagréable de déjà-vu. Seuls les amateurs du genre indulgents y trouveront leur compte dans ce thriller navrant et affreusement mal joué. Et encore.
Je n’ai pas trouvé ça si mauvais. Certe pas mal de clichés, assez classique mais plutôt bien foutu et une tension bien rendue… 2/4
L’ambiance est là mais c’est tellement attendu et réchauffé.
[…] ou grincent, silhouette blanche chevelue et défigurée qui se cachent puis vous sautent au visage, oiseaux suicidaires et chien craintif…) mais les choix de mise en scène sont payants puisque l’on reste […]